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"Faut pas exagérer. On est tout de même pas fait. Pour travailler comme des damnés. Il faudrait inventer. Un collège fou fou fou fou. Où tout le monde est fou. Un collège fou fou fou fou. Et rien que pour nous. Un collège fou fou fou fou. Où on ne fait rien du tout. Un collège fou fou fou fou. C'est ça qui serait doux. Un collège fou fou fou fou. Où tout le monde est fou. Un collège fou fou fou fou. Et rien que pour nous. Un collège fou fou fou fou. Où on ne fait rien du tout. Un collège fou fou fou fou. C'est ça qui serait doux…" Voici comment débutait chaque épisodes de la série.

Laura, une jeune adolescente de 15 ans, arrive dans un nouveau collège : le collège Itchio où elle découvre un univers quelque peu étrange. Le matin même de son arrivée au moment ou elle se présente, tous les élèves présents lui font une standing ovation! Elle se lie très rapidement d'amitié avec l'une de ses nouvelles camarades, Julie, Laura lui confie très vite qu'elle trouve que sa classe est remplie de crétins et autres imbéciles. D’ailleurs Julie lui apprend très rapidement que les élèves de leur classe sont très loin d'être les pires pour ce qui est de la crétinerie et de la débilité crasse. Sous ses aspects tout à fait respectable, l'établissement cache un corps enseignant défaillant et hystérique flanqué de plusieurs bandes de jeunes aux aspirations aussi bizarres que diverses. Eh oui, le collège abrite la bande des pires crétins et Multi redoublants que Laura et Julie auraient jamais imaginées. La plus remarquable est La bande des Joyeux Loufoques (ou Les tronches bizarres/faces en biais si on traduit littéralement leur nom japonais : Kimengumis) composée de Rei (le chef débile), Ted (le musclé), Dan (l’efféminé), Jeannot (le pervers) et Jim (le gourmand). Ces cinq élèves délurés sèment la zizanie dans le collège et s'adonnent joyeusement à l'autodérision. De suite, Laura va intégrer la bande et découvrir les joies de l'école buissonnière !

La série fut diffusée pour la première fois en 1989 sur la chaine TF1 dans l’émission jeunesse phare de l’époque le « Club Dorothée ». Puis elle fut régulièrement rediffusée en France sur le câble et satellite sur AB cartoons, TMC, MCM ou encore Manga. Dés sa première diffusion, la série est un succès. Son côté déjanté et complètement barré en font une série comique de premier ordre qui a marché au Japon comme en France (seul pays à l’avoir importé). Le succès est telle qu’un film d’animation fut fait mais jamais importé en France. En France il faut aussi indiquer la qualité du doublage très proche du doublage original ainsi que le respect très proche de la traduction entre la version japonaise et française. La série malgré les années reste de très bonne qualifiée et est agréable à regarder aussi bien pour les plus jeunes qui l’a découvre que pour les adultes.